Albanie, des Alpes à l’Adriatique, la Grande Traversée
Du 15 au 29 septembre 2024 - 15 jours / 14 nuits, 10 jours de randonnées
(difficulté : 3 chaussures)
L’Albanie, précieuse miniature insérée au cœur des Balkans, réserve au voyageur curieux de nombreuses découvertes. Le pays oscille entre montagnes et côtes découpées, qui se tutoient en permanence. Des lacs spectaculaires s’avancent profondément à l’intérieur des reliefs. De Tirana au Parc national de Divjakë-Karavasta, à sa riche biodiversité, en passant par quelques visites de forteresse ou citadelle et un arrêt de deux jours dans le Parc national de Prespa dans un village de pécheurs. Ce pays, coupé du monde pendant près de 50 ans au plus grand bénéfice de la nature sauvage, mérite aujourd’hui le détour.
Le groupe de huit personnes qui a participé à ce séjour n’a pas été déçu par la beauté des paysages, l’accueil et la gentillesse des habitants.
Nous avons passé deux matinées à une action solidaire en participant à la construction d’un enclos anti-prédateurs, tels que le loup ou l’ours…Micro chantier un peu folklorique, merci à Jean-François et Xavier qui avaient suffisamment de muscles pour creuser les trous dans la montagne pour mettre des poteaux en ciment !! Certaines d’entre nous en ont aussi profité pour nettoyer les alentours bien remplis de déchets…
L’Albanie est un pays encore récemment ouvert au tourisme, après 50 années de communisme totalitaire et la construction de 750000 bunkers sous le « règne » d’Enver Hoxha qui ont beaucoup isolées le pays.
L’Albanie, précieuse miniature insérée au cœur des Balkans, réserve au voyageur curieux de nombreuses découvertes. Le pays oscille entre montagnes et côtes découpées, qui se tutoient en permanence. Des lacs spectaculaires s’avancent profondément à l’intérieur des reliefs. De Tirana au Parc national de Divjakë-Karavasta, à sa riche biodiversité, en passant par quelques visites de forteresse ou citadelle et un arrêt de deux jours dans le Parc national de Prespa dans un village de pécheurs. Ce pays, coupé du monde pendant près de 50 ans au plus grand bénéfice de la nature sauvage, mérite aujourd’hui le détour.